Extrait du journal

Le président du Conseil n'a pas manqué de faire remarquer que la décision prise à l'hôtel Astoria laisse la porte ouverte à une négociation d'ensemble sur la question des réparations, liée il celle des dettes interalliées. Il a rappelé qu'à Londres les circonstances ne lui avaient pas permis de poser le problème d'ensemble, en raieon de la publication de la note Balfour. On se souvent, d'aulre part, que NI. Pointare avait à ce moment reçu la visite des représentants de la Petite Entente, il qui il avait dit, en substance « Le problème des dettes interalliées ne sera pas abordé en votre absence, et le jour où une discusl'ion générale pourra s'instituer le gouvernement français demandera votre participation au débat. » En effet, si la France est débitrice de certains de ses alliés, elle est également créditrice d'autres alliés, et il est équitable qu'une conférence destinée à envisager le règlement des réparations, lité à celui des dettes européennes, ne se produise pas sotu la simple forme d'un conseil suprême imposant. sans les 'entenaux petites puissances des décisions souveraines....