Extrait du journal

Je la crois très fausse. Aucune grève ne peut se passer du concours de l'opinion publique, et la masse de l’opinion se retournera toujours contre ceux qui désorganisant, de propos délibéré, l’existence de tout le monde, y compris la partie de la population la plus absolument étrangère ail conflit. Une. grève qui a de telles conséquences ne se pardonne pas ; toute la question que le public peut se poser à son sujet périe sur les responsabilités engagées dans une lutte si désastreuse pour l’intérêt général. Il faut que les travailleurs aient été bien manifestement poussés à bout, pour que ces responsable11 retombent sur les patrons. Des m< vers si extrêmes, et surf. is de souffrance réé raies, ne peuvent évidemment...