Extrait du journal

sérieux, travailleurs, économes, ne pour raient-ils pas plus facilement tenter avec cette aide précieuse, s’ils en ont le goût, l’aptitude et le désir, de se créer une si tuation, de devenir eux-mêmes patrons, commerçants ou industriels ? Et les commerçants, petits et gros, tout en étant placés sur le même pied, n’écarfceraient-ils pas la concurrence de ceux qui sont au-dessous de leur situation, concur rence essentiellement désastreuse pour le commerce. Dans l’intérêt publie, comme dans l’in térêt des commerçants et industriels, il serait utile que cette question fut soumise l’examen de tous, dans les syndicats, dans les chambres de commerce, dans les conseils généraux, au Parlement, afin qu’elle aboutisse le plus tôt possible. X. M....