Extrait du journal

Pourtant, M. Sarolea estime qu’en Afrique, si notre empire est magnifique, nous n'avons pas été, à tout prendre, les mieux partagés. Le vice radical qu’il attribue à nos possessions africaines, c’est d’être habitées par les populations les plus denses, les plus énergiques, les plus intelligentes, les plus guerrières et, à la longue, les plus irréductibles du Continent. Les circonstances nous ont fait tomber, du Nord au Sud, sur des « durs à cuire » comme il n’y en a point dans les colonies anglaises....