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Le Progrès de la Côte-d’Or, 17 octobre 1882

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Le Progrès de la Côte-d’Or
17 octobre 1882


Extrait du journal

L.B CRIME DE L'OMNIBUS PAR Fortuné du BOISGOBEl — Cette femme ! s’écria Preneu se,c’est elle qui a assassiné ta sœur... et elle t’aurait tuée comme elle a tué Bianca, si nous n’avions pas réussi à te tirer de ses griffes. Je ne peux t expliquer ça ici. Binos va te conduire à 1 atelier, et je t y rejoindrai dans un instant. Il faut d’abord qne je confonde cette co quine. — A l’atelier ! jamais ! dit Pia d’une voie étouffée. — Pourquoi? Que t’ai-je donc fait? — Bon 1 je devine ! s’écria Binos qui s était approché. Elle a peur de rencontrer là-haut mademoiselle Paulet. Eh bien ! petite, je te jure que cette blonde n’y remettra plus les pieds... et que si son respecta ble père s'avisait de s’y présenter,...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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