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Le Progrès de la Côte-d’Or, 19 octobre 1882

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Le Progrès de la Côte-d’Or
19 octobre 1882


Extrait du journal

je suis revenu riche d’expérience. J’ai acquis de précieux secrets, de merveilleux remèdes pour guérir toutes les maladies ; j’ai— Serait-il possible ! s’écria Théa avec une expansion de joie. Vous pouriez donc guérir notre petite Kheta, ce pauvre ange qui est prêt à remonter au ciel, car tous les médecins en désespèrent... Je ne la verrai donc plus souffrir! — Je vous jure, en effet, par mon patron, bonne Théa, que vous ne la verrez plus souffrir ! Et, en appuyant sur ces derniers mots, il échangea avec son coin pagnon un regard où brillait un cruel sarcasme. — Je vous crois, Nikoll, je vous crois, dit Théa. Puis elle descendit lourdement, et, cinq minutes après, fit entrer les deux hommes par une petite porte secrète dont la clef lui était confiée ! Allons! entrez et soyez les bienvenus, dit-elle. Vous allez mon ter dans ma chambre et vous sé cher près d’un bon feu Dans une heure, le maître de Brederode doit venir avec son fils, le petit Henrik, qui sera fiancé à la pauvre Ketha, comme si ce lien terrestre pouvait la rappeler à la vie!" Ils ne savent rien encore. Madame descendra, pour les recevoir, dans la salle des Panoplies, et alors,...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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