Extrait du journal

M. de Vaux, qui, celui-là, est un passionné et, dans son corps débile, malade, un homme d'âpre volonté, d'anr dente conviction. M. Godefroy s'était fait bien doux, presque aussi humble que M. de Ramel. Il avait laissé entendre qu'il était tout à fait étranger aux imprudences de M. André Buffet et que même il n'était pas loin de les désapprouver. Lui, il n'était que pour l'action et la propagande légales. Il avait ainsi permis aux confrères de la basoche de travailler ses juges, favorables ou indulgents. Même, il avait expliqué qu'il n'était pas de ces royalistes d'ancien régime, partisans d'un pouvoir absolu; qu'il n'était nullement ennemi des institutions parlementaires. Cela lui valut même une forte algarade de M. Déroulède....