Extrait du journal

Le président du conseil a fortement tracé « la chaîne des réalisations antérieures ». Il a évoqué le souvenir et l'œuvre de Jules Ferry « qui fut si passionnément et si injustement attaqué » et montré que, « comme la question algérienne avait posé la question tunisienne, elle devait poser aussi la question marocaine. » Il a rappelé le programme de politique extérieure suivi depuis 1900 avec ténacité, qui tendait à placer le Maroc sous notre influence afin de fortifier notre empire du Nord et qui fut mis en œuvre par la série des accords acceptés tous avec faveur par l'opinion publique et par la Chambre....