Extrait du journal

Monsieur, Que devient la question des impôts au milieu de la tourmente actuelle ? Evidemment, la facilité relative des affaires a relégué cet*e question au second rang. Mais il lie faut pas oublier qu’à un moment donné. la concurrence peut redevenir active, et de Ce fait, le poids des impôts, se faire sentir plus lourdement. A un moment donné, on avait mis la taxe à la production pour supprimer la taxe sur la chiffre d’aviaires, puis cette taxe sur le chiffre d’e!fanes est revenue sous un autre? nom . on l’a d’abord qualifiée de ta.Te d’armement, pui6 ensuit? de taxe sur les transactions, si bien qu’à l’heu- , i> actuelle nous sommes gratifiés j de deux impôts au lieu d’un. Ne serait-il pus plus simple d? fondre j c«3 deux impôts en un seul, qui | pourrait s’appeler par exemple, t&Xe sur les paiements et qui pourrait s’ajotilér "sur facture ; de cette façon, chacun, en recevant la facture de ses fournisseurs, pourrait l’inclure dans ses prix de revient, puisque l’impôt serait porté sur ia fat-turc qu’il vient de recevoir. quant à lui-même i trierait sûr de Je" récupérer, puisqu’il l’ajouterait j sur la facture qu’il enverrait à son client. Que l’on ne m? dise pas que cela serait une grande complication, puisque dans un autre ordre d'idée, cet usage Pet répandu pour les notes d'hôtel et d? restaurant ; chaque voyageur de commerce suit, par exemple, que. si la note d"hôtel $e monte à 90 francs, l’hôtelier ajoutrilO pour le service, si bi?.l iu’l' paie 99 fis. Il suffirait donc...