Extrait du journal

l.a marine Iran, lise compte depuis longues ani . s un grand nombre de vape urs construits avec mie coque en fer, et l ou peut dire qu aujourd’hui on ne songe pans guère [huit la navigation maritime A construire îles coptes eu Inès [tour les milmr de machines et de propulseurs. C'est là un pro grès acquis et désormais hors de conteste. St cependant ou remonte nu oui haut dans le passé, si 1 ou se re[K»rle A vingt années eu arrière, on s'étonnera que les coques eu fer [tour les steamers i tant connues et réunissant dès cette époque îles avantages justement appréciés que l'hélice s'étant en partie substituée aux grandes roues et ayant laissé aux bâtiment» leur aspect primitif et permis 1 installation et l emploi d une voilure assez développée, on n aît pas dès longtemps tenté l'expérience de la navigation avec un navire A voile ayant une coque en fer Sic est là ce qui frappe d'abord, il faut reconnaître toutefois que depuis vingt ans il a été fait dans l’art de la construction navale en fer des progrès tels qu’ils permettent aujourd'hui hui l'emploi, dans des conditions de bon marche inconnues autrefois, de ces coques eji fer, dont le prix délassait alors de beaucoup celui du lots. LA, sans doute, est l’explication du temps écoulé entre le lancement du premier va [leur et celui du pi entier voilier, munis l’un et 1 autre d une coque eu fer. L’Angleterre, e>t il besoin de le dire, nous a précédés dans cette voie pour le voilier comme pour le vapeur Ht cette prééminence, elle la doit sans contredit A 1 admirable mise in œuvre doses ressources naturelles, au développement si grand qu'a pris chez elle 1 industrie du fer, sous toutes les formes que revêt le plus précieux des métaux. Le premier va-...