Extrait du journal

île l'autorisation préalable, et qui amena le déchatncmvnt de la presse révolutionnaire. ou "en cou rageait la police pour étouffer la voix île la presse libérale, ne justifie pas méso saxritiqtie. A bien des égards, en effet, les publications radicales elles-mêmes étaient autant de reflets de l’opinion publique, bien qu’elles fussent les organes d’une faction. L’ex-empereur ne saurait prendre le change h cet égard. Chacun .--ait ce este lui coûtaient les apologies des feuilles officieuses. Il s’est exprimé comme si “les puce s des Tuileries” u avaient jamais été publiés. — A. C....