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Le Soir, 13 avril 1913

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Le Soir
13 avril 1913


Extrait du journal

fin France, depuis plusieurs semaines et en face d’une telle éventualité-, les affiches de la G. G. T. couvriraient îles murs, portant, parlotes la mauvaise parole et les dangereux conseil)s. Ici, rien de tel. Toute la presse libérale, toute la presse socialiste, toutes les licites, tous les discoures, supplient les ouvriers de conserver leur calme, este -ne point manifester dans la rue, de repousser les provocations et de se gajxle-r des bagarres. Plus dé trois millions de francs ont été versés par la bourgeoisie, pour soutenir la. grève des bras croisés. Les enfants des grévistes seront reçus à l’étranger, soignés et (nourris. On a envoyé des Jjollots de livres et. de brochures aux maisons du Peuple fouir retenir les manifestants -dans ces locaux en Lee éloignant des pièges de 1a rue 1 Le gouvernement va se trouver en face d'urne foule grave, disciplinée, consciente de sa dignité et de sa force — et qui proteste légalement, par un moyen légal, — parce qu’on Va bernée !...
Le Soir (1869-1932)

À propos

Titre fondé en 1869 par le banquier Merton, la particularité du Soir est, comme son nom l’indique, de paraître après tous les autres journaux à partir de 19h30.  Ayant des sympathies impérialistes à l’origine, le journal se ralliera par la suite à la République tout en poursuivant sur une ligne politique conservatrice, oscillant entre le centre droit et le centre gauche. Le Soir reste un journal d’affaires défendant avant tout les intérêts financiers des différents groupes qui furent à sa tête. Le Soir cesse de paraître en 1932.

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