Extrait du journal

rais à considérer avec doute la fortune de cet Alexandre. Mais il ne nous l’annonceront pas. Tout ça n’est même pas nouveau. Ce n'est pas d'aujourd’hui qu'on voit les nigauds jouer avec le feu et certains catholiques se frotter avec une perversité à la Mauriac aux promesses de massacre. Il en était déjà ainsi au temps de la guerre d'Espagne. Quand on interrogeait dans un coin de salon l’un de ces furieux de masochisme, il vous soupirait avec des yeux blancs : « Ça nous fait du bien, le sang. Nous avions besoin de souffrir. Nous étions si corromps ! » Ignobles personnages qui, par spéculation littéraire, étaient prêts à livrer à la ruine les fondements d'un grand pays, ces fondements qu'.a n’est jamais sûr de raffermir quand ils ont été ébranlés. Vous le verrez en Russie, vous verrez la difficulté d'y remettre sur pied la civilisation débilitée par vingtcinq ans d'incapacité marxiste....