Extrait du journal

Nous n’avons rien .Y dire de la disrussion des sucres, il laquelle la dérhiralion tardive de M. le ministre des finances a donné un aspect inattendu. Il est bien démontré que le cabinet, sur cette question, comme sur tant d’autres, n’a pas d’avis ?t lui en propre, et qu’il attend l'impulsion qui lui sera donnée. Au point où en sont les choses, il est impossible de prévoir ! issue qu’aura la discussion, qui pourrait bien se terminer par un ajournement. Il ne manque pas de gens pour prétendre que tel a été du reste le but du cabinet, en jetant une pomme de discorde dans l’assemblée au moment où elle paraissait à peu prés d’accord. Nous apprenons par notre correspondance que M. LacaveLaplagne s’est rendu au sein de la commission ; on assure que les membres de celle dernière se sont plaint amèrement du procédé ù l’aide duquel le ministre est venu détruire d’un mot tout le résultat de leur travail, et ont déclaré qu'il était impossible maintenant de le reprendre sur de nouvelles bases. JV1. Larave-Laplagne aurait annoncé alors l'intention de s’en rapporter , purement et simplement , ?i l’avis qui surgirait du sein de la chambre par forme d'amendement....