Extrait du journal

de nos atours pour des gandins. Nous en éprouvons une 'fierté relative.' D’ail leurs, le travail commence. Et 11 ne faut pas plaisanter- avec lui. Au petit matin, on découvre -dans les pâtures dé belles et stupides vaches — la beauté est toujours stupide — qui font semblant de paître. On ne pourrait, en effet, sérieusement supposer qu’elles mangent.comme cela sans.arrêt de l’au be 'au soir et du soir, à l’aube durant toute une année. Ce ne seraient plus des mères de génisses,' mais- bien des élé phants. Admettons donc qu’.elles.sont là uniquement en curieuses, qu’elles aussi s’intéressent au Tour de France et. que notre passage dans les Pyrénées! les fait'rêver de-pâturages alpestres que nous.-verrons bientôt. Mais les vaches ignorent complètement la photographie et ses exigences.. Elles ne se placent jamais .de là façon qui convient. Elles font des premiers pians quand. elles sont appelées tout au plus à Jouer les...