Extrait du journal

LILLE, OCTORHE. Je suivais hier l'avenue à la fois urbaine. industrielle, rurale, qui mène de Lille, à Roubaix et Tourcoing. De distance en 'distance, sur l'alignement des prés où paissent les vaches et les bœufs de race hollandaise ou normande,- s'élè-j vent des habitations de tous styles. : maisons carrées avec terrasse, à l'italienne, chalets à colombages, hôtels à grands 'perttffisHêV'Tîïïe centrale électrique ; ailleurs, un grand transformateur. Et puis encore des villas, des hôtels, des maisons en construction... A l'arrière-plan, assez loin pour ne point dominer et ne pas assombrir, usines à cheminées, qu'on ne saurait compter....