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L'Oriflamme, le Régulateur, 21 juin 1823

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L'Oriflamme, le Régulateur
21 juin 1823


Extrait du journal

A-t-on l’esprit d’obéissance dans les collèges de nos jours? Oui sa- , doute, mais l'obéissance y est toute relative à la seule autorité qu'on y trouve, à l’autorité extérieure et fiscale. Ou est forcé de payer, et I on exile volontairement ou par contrainte. J’avoue que les statuts et les règlements sont même sur ce point d’une prévoyance admirable. Hypothèque légale, procédure d’slice, expropriation forgée, université a tout et peut tout contre les débiteurs assez mallienicnx pour être en retard avec elle. ( Décrets des 12 sept. ml ie 11 u novembre 1811 ; arrêtés îles 3i octobre 1812, 1 7 octobre ihi >. ) Mai» que peut-elle pour le^ bonnes mœurs ? Rien. Les bonnes mœurs i.es eu léger tiennent au genre d’autorité qui lui manque, et qui sujipmei ait, dans les divers maîtres, uniformité de vues, d’intérêt 1 * ’'* c.t"1 ,ll,l CL 9111 se rencontre diflicilemeiît chez des hommes iso-...
L'Oriflamme, le Régulateur (1823-1824)

À propos

L’Oriflamme, le Régulateur est un quotidien ultraroyaliste ayant paru entre le premier juin 1823 et le 15 mars 1824. Bien qu’il soit généraliste et principalement intéressé par les questions politiques et économiques, il garde une section réservée aux « questions culturelles ». Dans celle-ci, de nombreux jeunes artistes romantiques vont publier leurs textes, parmi lesquels on trouve Victor Hugo et Charles Nodier. Il cesse de paraître quelques semaines après que les élections législatives aient donné une majorité écrasante aux ultraroyalistes.

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Données de classification
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  • j. g. dentu
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  • france
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  • parlement