Extrait du journal

Ce n'est pas principalement du point de vue technique qu'il tout juger dans la période de crise générale que nous traversons la transformation du régime de nos Chemins de fer. Si nous vivions une époque de stabilité, d'activité économique normale et d'adaptation sociale bien réglée, nous dirions qu'étant donné l'ampleur de la créance de l'Etat sur les Réseaux, il n'est pas choquant, loin de là, de voir l'Etat prendre la majorité des actions de ce service public. Au surplus, il semble bien que, pour le moment les actionnaires ne sont pas spoliés....