Extrait du journal

,dont qil a la charge. La S. D. N. doit rêver la grande autorité morale qui entérine les accords établis entre les peuples et demeurer, dans tous les cas, l'arbitre suprême. Ce n'est pas devant elle que doivent s'instituer les discussions. Son rôle est d'enregiistrer les ententes et elle ne peut trancher en dernier ressort que les Différends dont la solution directe apparaît impossible ou bien de nature à compromettre la paix dont elle est la gardienne. A dire vrai, Genève n'est pas le lieu. des discussions diplomatiques....