Extrait du journal

Alors. Alors. Au lieu de chercher à se rapprocher d'un art moderne qui malmène quelque peu la femme dans sa vérité plastique et la délicatesse de son teint, le dessinateur de catalogues pourrait assumer une magnifique mission en nous ramenant à plus de bon sens et d'exactitude dans la représentation de cette beauté moderne dont Gavarni, jeune, sut, en même temps que l'élégance romantique de la robe à treize volants, exprimer la grâce aérienne rien qu'en dessinant la femme de son époque tells qu'elle était. Les merveilleuses du Directoire ne nous charment encore dans les journaux de La Mésangère que parce que, soucieux de nouveautés,, pourtant, les artistes d'alors ne voulurent pas paraître originaux aux dépens de la vérité et de la beauté vivante....