Extrait du journal

La Belgique, qui avant la guerre était avec L\ltcinagne le plu» important client de la viticulture française, offre un exemple particulièrement intéressant à ce point de vue. En effet, en moins de quinze an», ta consommation de» vin» français y a été réduite à un tiers de ce quelle elle était axant la guerre et cela en dépit d’un accroissement de la population de 9 >% «•! d'une élévation sensible «lu niveau d’existence. Certes !<■ rôle joué ici par les taxes «•! les contingentement» est considérable. L’augmentation de la consommation de la «bière a produit -un cet ; la Belgique vient en jimniix lieu parmi les pays gros buveur» 5 -peseta» fob Anvers le vin esjKtgnol cl 00 fr. -belges l‘Ue«-toliln> de vin chilien). Mai» à côté de ces fauteurs, la concurrence des « vins » détruits est la plu» redoutable. Peu imposée qu’il s'agisse «le l>oi»sons de fruits vendu» sous le nom «le grand» crus «le France ou de coupages dans lesquels un litre «le bon vin doit donner son nom à une quantité considérable de « vin » «le fruits, les résultat» sont l««u.fours les mêmes : dépréciation des bons vins «te France, induction en erreur du publie spis Huit par se détourner «les vin» frelatés souvent malsain» cl nocif», «ri enfin disparition «les vins français du marché belge où ils occupaient il y a quinze ans encore une place prépondérante....