« Mon cher B..., Je regrette presque d'avoir eu ma permission au moment même de la Victoire. J'aurais voulu être avec vous, pour entendre chuinter le dernier obus et claquer la dernière balle de mitrailleuse. [...] Vraiment, oui, vous avez dû être heureux. L'ennemi capitule. »
D'un poilu à un autre resté au front, Jean Piot savoure la capitulation allemande, et tourne ses pensées vers l'après-guerre, le retour des soldats dans leur foyer et la reconstruction du pays.
Lecture par Jean-Christophe Frèche.
Mots-clés