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Dossier

La Guerre franco-allemande de 1870-71 et ses conséquences

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Image de couverture

Le Siège de Paris, tableau d'Ernest Meissonier, 1884 - source : WikiCommons

La Guerre « de 1870 » entre la Prusse et les troupes impériales de Napoléon III fut très courte. Commencée le 19 juillet 1870 et terminée le 28 janvier 1871 à la suite de la capitulation française, elle reste dans la mémoire nationale pour ses nombreuses et lourdes conséquences.

La déroute inattendue des bataillons français aboutira en effet sur la capitulation de l’Empereur à Sedan, laquelle sera immédiatement suivie par la proclamation de la République, puis par le long et douloureux siège de la capitale. Deux mois plus tard, l’instabilité provoquée par le conflit et l’irritation due au siège se mueront en un épisode politique de première importance, la Commune de Paris. Enfin, le souvenir de la défaite et l’annexion de l’Alsace-Moselle à l’Allemagne produiront sur le moyen terme un esprit de revanche vis-à-vis du pays vainqueur – d’ailleurs largement alimenté par la presse – dont on constatera les effets nocifs lors des deux conflits mondiaux du XXe siècle, en 1914 puis en 1939.

RetroNews revient ici sur les façons dont la presse française a pu relater la « débâcle » et sur comment elle a su faire ressurgir le souvenir de celle-ci en temps de paix, pendant les premières années de la Troisième République.

Mots-clés

1870germanophobieAlsace-LorraineParisParis
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Long format

Lorsque la presse se moquait des combattantes françaises

Pendant la Guerre de 1870, un bataillon parisien entièrement féminin, les Amazones de la Seine, se mobilise pour venir en aide à une armée française en déroute. Cet engagement se retrouve démoli par une grande majorité de la presse française, unanimement misogyne.

Chronique

Écrire la débâcle : les journaux français pendant la Guerre de 1870

Alors que l’état-major français refuse de s’épancher sur les défaites essuyées contre l’armée prussienne, la presse française est contrainte de s’appuyer sur les dépêches allemandes via la presse étrangère pour rédiger ses articles. Ce qui en sort est souvent déconcertant.

Long format

2 septembre 1870 : la défaite de Sedan

« L’armée est vaincue et captive, moi-même suis prisonnier ».
C’est par ce télégramme que l’impératrice Eugénie apprend que son époux, Napoléon III, est fait prisonnier à Sedan avec une grande partie de l’armée impériale le 2 septembre 1870. Cette défaite majeure entraîne la chute du Second Empire.

Écho de presse

1870 : « Il n'y a pas de siège de Paris possible »

Alors que Paris est sur le point d'être assiégé par les armées prussiennes après la débâcle de Napoléon III à Sedan, nul ne veut croire à l'imminence de l'état de siège.

Écho de presse

1870 : Gambetta quitte Paris en ballon

Dans une capitale plus que jamais isolée, les ballons montés sont le seul moyen de rejoindre la province. Ainsi le ministre de l'intérieur, Léon Gambetta, quitte Paris le 7 octobre 1870 pour un voyage périlleux.

Écho de presse

Décembre 1870 : « Le froid est notre ennemi »

Alors que Paris est assiégé le 18 septembre 1870, la vie quotidienne des Parisiens se met en place, entre rationnement drastique et rigueurs d'un hiver exceptionnel.

Long format

La « cigogne qui porte les bébés », légende héritée de la guerre

Cela semble paradoxal, mais la douce image de la cigogne « psychopompe » est intimement liée aux guerres franco-allemandes. Avant de devenir une référence courante, c’est une cigogne seulement alsacienne qui porte les nourrissons… et parfois même, des soldats.

Écho de presse

L'exil et la mort de Napoléon III, empereur déchu

Suite à la défaite de 1870 et à la proclamation de la République, le souverain déchu s'exile à Chislehurst, en Angleterre. Tenu pour responsable de l'échec de Sedan, il espère pourtant un retour au pouvoir. Mais la maladie l'emportera le 9 janvier 1873.

Long format

1871 : cession de l'Alsace-Moselle

À la stupeur de la défaite de la guerre de 1870 s'ajoute l'humiliation de l'annexion de l'Alsace-Lorraine (alors « Alsace-Moselle ») par le nouvel Empire allemand. Vite, le mythe de la revanche attise le nationalisme en France, et sème les germes de la « haine de l'Allemand ».

Long format

La Commune de Paris en 1871

Bien qu’elle n’ait duré que 9 semaines, la Commune de Paris est un moment fort de l’histoire du mouvement ouvrier et socialiste français. Prônant une démocratie sociale, la Commune de Paris est considérée comme une menace par les autorités de la IIIe République naissante.

Interview

Une histoire de la germanophobie française après la débâcle de 1870

Avec la défaite de Sedan puis la capitulation, l’antigermanisme et le revanchisme vont prendre de l'ampleur au sein de l'opinion française. « La volonté d’en découdre ne disparaîtra jamais réellement », nous dit François Cochet.

Interview

Les Français et la guerre de 1870 : stupeur, amertume et résilience

Comment les Français ont-ils traversé la Guerre de 1870 ? L'historien Jean-François Lecaillon a exhumé des milliers de témoignages écrits qui la racontent telle que l'ont vécue jeunes conscrits, militaires de carrière et simples citoyens.

Chronique

Les zouaves pontificaux volontaires de l’Ouest, le régiment royaliste de 1870

Pendant la guerre franco-prussienne, à Loigny, un corps d’armée français monarchiste et ultra-catholique se fait remarquer sur le champ de bataille. À sa tête, Athanase de Charette, petit-fils du célèbre général vendéen.