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Dossier

Ecouter de la « musique noire » en France au début du XXe siècle

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Image de couverture

L'histoire d'un jazz-band, René Préjelan, circa 1920 - source : Gallica-BnF

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, les musiques caribéennes et afro-américaines s’implantent progressivement dans un Paris traumatisé, qui souhaite oublier et se divertir.

Le jazz américain et la samba brésilienne conquièrent les music-halls de la capitale, la danseuse Joséphine Baker fascine les foules, tandis que dans les milieux intellectuels, Gide, Cocteau puis les surréalistes se passionnent pour ce que l’on nommera bientôt les « Arts nègres ». Ce sont les Années folles, et leur euphorie, couplée à un exode rural de plus en plus marqué, se communique dans toutes les villes du pays.

RetroNews s’attarde sur la découverte progressive d’une culture musicale noire et métisse encore largement invisibilisée, et la couverture médiatique dont celle-ci a pu faire l’objet entre 1920 et l’après-Seconde Guerre mondiale.

Mots-clés

jazzDuke Ellingtonxénophobieannées follesbluessambagospel
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Écho de presse

Les « spirituals », les chants d’esclaves à l’origine de la musique gospel

A l’origine chants religieux des esclaves noirs des États-Unis, les spirituals sont popularisés en France, sous leur forme enregistrée, dans l’entre-deux guerres. La presse s’intéresse alors à cette musique venue d’outre-Atlantique.

Écho de presse

Lorsque le jazz s’attirait les foudres des critiques français

En 1939, le be bop révolutionnaire n’a pas encore fait son apparition que le jazz fait déjà débat dans les parutions culturelles. En des termes, sans surprise, extrêmement racistes. 

Long format

Danse, jazz et « bambocheurs » : les Nuits du Paris des années trente

En 1932, trois reporters s’aventurent pour Paris-Soir dans les clubs nocturnes et cafés dansants de la capitale. Ils en reviennent avec nombre d’anecdotes et autant de profils sociologiques de fêtards.

Long format

1930-1950 : la France découvre le blues

Apparu au début des années 1920 aux États-Unis, le blues arrive en France via son cousin le jazz et les représentations de la Revue Nègre. Toutefois, il s’agit encore d’un concept polysémique flou - une danse ? un sentiment d'abattement ? - et non pas d’une musique à part entière.

Long format

Quand la France découvrait une star noire : Joséphine Baker

En 1925, tandis que la célèbre « Revue nègre » se produit à Paris au son du jazz et du charleston, les journaux de la capitale assistent émerveillés à la mise en orbite d’une talentueuse danseuse afro-américaine. Son nom : Joséphine.

Écho de presse

C'était à la Une ! Duke Ellington à Paris en 1933

L'article du jour évoque le jazzman Duke Ellington et notamment son concert parisien. En partenariat avec "La Fabrique de l'histoire".

Écho de presse

Boris Vian, un fou de jazz dans les colonnes de Combat

À la fin des années 1940, Boris Vian tient dans Combat une chronique hebdomadaire consacrée au jazz. Critique passionné, il y clame son admiration pour les légendes du genre (Louis Armstrong, Duke Ellington...), mais aussi son enthousiasme pour un style révolutionnaire : le bebop.

Écho de presse

Dans les caves du Saint-Germain-des-Prés d’après-guerre

Fréquentés notamment par Boris Vian et la jeune Juliette Gréco, de nombreux clubs de jazz souterrains font alors leur apparition dans le célèbre quartier, symboles à la fois de l’envie de fête de l’après-Libération et de la popularité du genre.

Écho de presse

1948 : le premier Festival international de jazz à Nice

Louis Armstrong, Baby Dodds, Willie Smith… En février 1948, l’affiche du premier festival international de jazz de Nice est prestigieuse. Pendant une semaine, la capitale azuréenne swingue au rythme de la Nouvelle-Orléans, du be-bop et des jazzmen du monde entier.

Long format

Les prémices du gospel : hymnes, spirituals, et jubilee songs

La musique que l’on nomme en langage courant gospel est en réalité un canevas au sein duquel on retrouve un certain nombre de musiques « spirituelles » afro-américaines. Dans le sillage du jazz, toutes ont trouvé un écho en France à compter des années 1920.

Interview

Dans les années 1920, les danses afro-américaines remuent la France

Durant l'entre-deux-guerres, une multitude de danses "venues des Amériques" font leur apparition en France, suscitant attrait et rejet. Un phénomène qui questionne le rapport de la France à la culture afro-américaine, comme l'explique l'historienne Sophie Jacotot.

Long format

Quand la France vibrait au rythme de la biguine

Dans la lignée de la samba et du tango, la biguine antillaise fait une apparition remarquée dans les dancings parisiens des Années folles. La presse métropolitaine s’en fait l’écho, non sans éviter malentendus et clichés.