PRÉCÉDENT

Je suis partout, 11 août 1941

SUIVANT

URL invalide

Je suis partout
11 août 1941


Extrait du journal

pour la repas de midi. Il ne faut pas que les enfants puissent être victimes soit des insuffisances du ravitaillement chez eux, soit de la pauvreté, soit de l'absence des pa- j rents, soit de leur malveillance et de leur égoïsme (car enfin il serait bien hypocrite de ne pas songer à cette hypothèse, mal heureusement plus vérifiée qu'on ne croit). Il est extrêmement rare qu'on ne puisse trouver dans une école un local suffisant pour donner des repas, par roulement sur tout. La question des approvisionnements et de la cuisine nécessite, bien entendu, un cas particulièrement pénibles. Vivant dans personnel. C'est là une solution du proun quartier ouvrier, connaissant le monde blême du chômage, au moins en partie. Il des usines, il sait mieux que personne à i faudrait, bien entendu, surveiller la géquelies tragiques difficultés se heurte au- ' rence de ces cantines, mais on sait qu'il en jourd'hui le prolétariat. Il nous cite parti- f déjà de nombreuses qui sont tout à...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

En savoir plus
Données de classification
  • jeanson
  • lang
  • robert brasillach
  • lucien rebatet
  • pétain
  • daladier
  • mauriac
  • france
  • allemagne
  • espagne
  • londres
  • moscou
  • italie
  • bretagne
  • malo
  • poste
  • clemenceau
  • académie française
  • parlement