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Je suis partout, 12 mai 1944

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Je suis partout
12 mai 1944


Extrait du journal

êtres chers, mobiliers, économies Faut-il oser dire que ceux-ci n’ont à peu près Jamais découvert, dans un très vaste périmètre, le restau rant qui soit à la toute petite mesure de leurs moyens ? Faut-il dire qu’aucun effort n’a été fait aucune initiative privée n’a ét^ prise, à notre connaissance, en faveur de ceux-là ? La main secourable doit-elle donc nécessaire ment se revêtir d’un sceau offi ciel ? Mais nous avons vu, Auguste et moi, vu et entendu bien d’autres choses... Pendant plusieurs jours, lui, le sinistré ; moi, l’enquêteur, nous avons été anxieusement eollici tés : — Des cartes de textile, mon cher monsieur ? Ça va vous man. encore, dans les quer pour refaire votre trous seau.Ou bien : — Si vous voulez vous refaire un petit stock de provisions en prévision du débarquement, on pourra vous faire des prix... Nous avons reçu des visites inattendues : — Si vous voulez vous babiller, mon cher monsieur... — Ou vous chausser-,...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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