Extrait du journal

Conservons bien cette sainte croyance, N’invoquons pas des faux dieux impulssans, Et confions le bonheur de la France Au Dieu des bonnes gens. Pauvres humains, sachons bien que la vie Est un tissu de peines, de plaisirs ; Par le travail et par l’économie, Assurons-nous de modestes loisirs. SI nos efforts ont de funestes chances, Et si pour nous les destins sont rbingeam. Confions-nous, pour calmer nos souffrances, Au Dieu des bonnes gens. La politique est souvent l'ennemi De l'ouvrier qui, fuyant ses travaux, Va s’agilaut au nom de la patrie, Qu'il croit servir en troublant son repos. La douce paix, sœur de la patience, N’exauce point les vœux trop engeans: Pour l’obtenir, ayoifs tous confiance Au Dieu des bonnes gee». SI les démocs sont en proie au délire, A chaque pas renversant un autel, Voulant créer, s’ils ne font que détruire, Si leur orgueil offense VEternel , Unissons-nous contre toute démence Aux hommes d’ordre, seuls intelligent ; Et confions le bonheur de la France Au Dieu des bonnes gens. P.-E. JaO(I....