Extrait du journal

Mais que penser 4es parents qui s'amusent des attitudes précoces de leur fillette, et quelle morale peut-on tirer de la comédie de M. Machard ? Peut-on s'imaginer le père de cette « gosse » à tabler lé soir, entre sa femme et sa fille, et se félicitant d'avoir sauvé son bonheur conjugal par la rouerie prématurée de son enfant ? En vérité, la destruct'on de son foyer ne semble pas pouvoir être autrement pénible que les inquiétudes qui dôitent résulter pour lui et pour toute sa vie de la révélation des penchants troublés de cette gosse « innocente »....