Extrait du journal

silence que je. ne savais à quoi attribuer, comme je me suis moi-même torturé durant l'interminable semaine où chaque jour m'apportait une déception nour velle, alors que ma faute dépasse mille fois le péché véniel dont tu t'accuses ? « Ce cœur qui t'appartient a douté de ta tendresse, oublié qu'il te doit de connaître l'amour. Pardonne-le-moi. Nous venions d'être tant heureux et la solitude est si mauvaise conseillère, vous met en tête de si sottes idées ! Au reste, puisque tu es jalouse, tu comprendras le malaise insurmontable qui m'a envahi en ne recevant plus rien, en songeant que d'autres hommes papillonnaient peut-être autour de toi, qu'après ces chasses qui rajeunissent, qui fouettent le sang et tendent les muscles, ton mari t'avait retrouvée en beauté, en. vibration, t'obsédait sans doute, te violentait....