Extrait du journal

Le pauvre homme a peur des coups ! Cest qu'il ne s'agit plus d'en donner, mais den recevoir. Il tremble à la pensée qu'on pourrait toucher à sa précieuse personne ! Heureusement, des gens se sont attroupés ; aussi indignés de ses crimes que de sa lâcheté, il l’entourent et le frappent, insensibles à ses supplications. Il reçoit une correction méritée, mais pas complète : pourquoi faut-il que les agents se choient obligés d'intervenir en faveur du miséRiile et de se porter à son secours ? Us crachent aux mains de la foule irritée * ils l entraident. Le sinistre meurtrier M trouve maintenant sous le coup de la <®i, comme on dit ; mais à considérer la son dont on la fait fonctionner à l’heure •duellc, c’est plutôt sous la protection de h loi qu’il faudrait dire....