Extrait du journal

Pour un aboyeurde place publique A Jean Jaurès. « Aboyeur de place publique », Disait l’un d’eux, suavement. Tu ne plais pas à cette clique, Aboyénr de place publique 1 Car ils le savent sans réplique, Ton incomparable aboiement. * « Aboyeur de place publique », Disait l’un d’eux, suavement. Aboyeur de place publique, Méprise les roquets hargneux Qui te suivent d’un œil oblique, Aboyeur de place publique ! Reste bon pour le famélique Et fraternel au besogneux. Aboyeur de place publique, Méprise les roquets hargneux. Aboyeur de place publique. Montre les dents à l’oppresseur; Car il rirait de ta supplique, Aboyeur de place publique ! S’il devient plus évangélique, On essaiera de la douceur. Aboyeur de place publique. Montre le» dents à l’oppresseur Aboyeur de place publique. Mets le Capital aux aboie 1 Paul eu sera mélancolique. Aboyeur de place publique 1 Lafarguo en aura la colique J Maie le peuple entendra ta vois. Aboyeur de place publique, Mets le Capital aux abois ! Aboyeur de place publique, Dresse-toi calme et glorieux. Moi, je te rêve en Pontélique, Aboyeur de place publique 1 Je préfère au luth angélique Ton aboiement victorieux. Aboyant de place publique, D>-ekse-toi calme et glorieux l Maurice Boucbor. . n»» ■ — ——...