Extrait du journal

— Tu te tueras... — Oh ! je suis solide ! — Et si l’ouvrage manque? — Il ne me manquera jamais, à moi... je sais me retourner. — Oui, tu es intelligent et travailleur, je le sais... et je ne demanderais pas mieux que de vous être agréable.. Maurice, croyant le vieux bien diposé, insista. — Voyons. M. Gérard, dit-il, ce n’est pas pouf une misérable question d’argent que vous allez faire notre malheur à tous les deux... — L’argent, mon garçon, fit le vieux, n’est jamais misérable.'. C’est ceux qui 1 en manquent qui sont misérables... Et, satisfait de ce pauvre jeu de mot, il éclata de rire... puis il se leva... — Attendons encore, dit-il... si ta posi tion s’améliorait, nous verrions... — Et, pendant ce temps, fit Maurice tout pâle, vous me permettrez de voir ma cousine ? — Oui, do temps en temps, notre mai son, tu le sais, ne te sera jamais fer mée... — Et... bégaya Maurice... l’autre ?... — Quel autre ?... — L’autre dont vous m’avez parlé...' — Eh bien?... — ELst-co que vous continuerez à le recevoir aussi ? — Dame!... je ne sais pas; si tu ne pouvais pas épouser Alice... On ne sait pas... L’exposer à coiffer sainte Cathe rine. , Tu comprends bien... • — Oui» ça effet, <3it MauFte«3...