Extrait du journal

L'entrée de notresalleest close.Précaution louable. Des intrus auraient pu nous y précéder. Nous exprimons le désir, si naturel.de pénétrer chez nous aux deux employés qui, placés de l'autre cité de la grille, semblent nous attendre. Npus les invitons gentiment à nous ouvrir la porte alin que nous puissions installer, à notre aise, nos services d'ordre et de contrôle. Les deux employés, l'air un peu amusé, ne comprennent pas sans doute, car ils ne bougent pas. Peut-être ne sont-ils pas au courant. Nous leur demandons d'aller chercher le propriétaire,devant qui toutes les difficultés vont s'aplanir. Mais au lieu d'appeler M. Delanville c'est la police qu'ils appellent en lui disant ; Faites eirculer ces gens-là ! C'est roide. Et ce qui est plus roide encore, les agents tes brav's gens I - se mettent en devoir de nous faire circuler. Il y a malentendu, nous nous adressons à un commissaire qui nous apprend qu'il est là pour protéger notre voleur contre les voles que nous sommes....