Extrait du journal

La grève télégraphique et postale n mis, des le premier jour, dans le plus cruel et le plus ruineux des embarras tout le commerce parisien, et même, ce qui est plus exact, le commerce national tout entier. Plus de commandes, plus d'ordres, plus d'envois d'espèces ou de valeurs, plus de marchés, plus de correspondances d'aucune sorte. 11 n'y a pas que le comme™. Tous, ceux qui s'occupent d'affaires quelconques, i litres divers, industriels, professions libérales, sont littéralement désemparés. La première chose i faire était donc d'organiser, de tenter de remplacer les employés manquants, d'opérer la distribution des courriers. C'est là le travail le plus urgent....