Extrait du journal

arrive parfois qu’en ichn dégoût profond u fleuve social je veux sonder le fond ; hissant là toit à coup les politiques choses, effrayé des effets et soucieux des causes, lotîmes pour m’étourdir dans mon chagrin amer, e parcours dès l’abord le fleuve et puis la mer. 3 vois alors, je vois la chronique terrible, dus les faits monstrueux que passent dans leur crible hague jour que Dieu fait, les deux ou trois journaux Hachés dans Paris aux bruits des tribunaux, fuels récits eflïayans! quoi ! nul en sa demeure, .u temps où nous vivons, n’est sûr de vivre une heure ! foi ! le Vol et le Meurtre, effroyables huissiers, entrent chez nous sans peur de nos justiciers uoi ! nous ne pouvons plus, sans que la main frissonne, quand on y frappe, ouvrir notre porte à personne !...