Extrait du journal

Les lecteurs du Gaulois et moi, nous sommes d'anciennes connaissances, mais je demande la permission de les intriguer un peu en m'affublant d'un déguisement .pour causer avec eux. C'est un privilège de carnaval. Or. nous y sommes en carnaval, ce me semble, ainsi que l'attestent les affiches bariolées des bals de FOpéra. de la Porte-Saint-Martin et du Casino. Entrons donc, s'il vous plaît, chez le premier costumier venu. Pas n’est besoin de recourir aux riches magasins de Moreau et de Rabin. Cette petite boutique située non loin du boulevard nous suffira....