Extrait du journal

Le second, que je désigne par le nom d'Adalbert> a perdu récemment son père bien-aimé; Le défunt était un pauvre Vieillard qui, depuis longtemps, allait s'ëtéignant comme une lampe à laquelle l'huile fait défaut. Dans les derniers temps de cette existence épuisée, lé médecin ayant autorisé les enfants du im> ribondàfaire avaler à celui-ci quelques gorgées de Bon bordeaux, un ami de la famille s'était chargé de fournir un flacon de la susdite liqueur. Malheureusement, quand il apporta là liqueur, le vieil ami venait de --trépasser i....