Extrait du journal

— Quoi donc? Je n’aurais donc plus rien à faire ? M11* Eble sourit et dit en réponse à M** H es» sel in : — La matelasserie de M. de Valence ? — Oh ! imaginez-vous, se précipita ia volubile et fougueuse interruptrice, que M. de Valence, notre délégué de la Croix Rouge à Casa, avait pris l’initiative d’employer nos loisirs, lesquels n’étaient pas nombreux, je vous prie de le croire, à nous faire confectionner toute espèce de tra versins et de petits matelas peur garnir le fond des ara bas arrangées en voitures d'ambulance... — Sans compter qu’il avait bien raison t Lee ara bas sont d’horribles charrettes à hautes roues qui vous cabotent comme tout I Nos blessés transportés là dedans y étaient horriblement mal. — Mais, ma chère amie, je ne dis pas cela pour critiquer I Tout le monde ici admire et respecte M. de Valence, tout le monde l'aime, son idée de faire travailler les dames, entre leurs heures de service, à améliorer les voi tures de transport pour nos pauvres soldats ramenés du champ de bataille, était excellente. J’en parle seulement afin de montrer... Puis, impatiente d'en finir, et se teurnant vers Charlette : — Enfin, vous comprenez, n’est-ce pas ?... Ceci lui permit d’entamer Immédiatement l’éloge du délégué de la Croix-Rouge, dont la conduite avait été déjà si appréciée pendant la dernière campagne de Chine. Aujourd'hui, malgré ses soixante ans passés, ce gentilhomme d'une vigueur et d’ans activité sans égales, avait trouvé le moyen d’erganiser à la fois l'hôpital à Casablanca, les alnbalancee L accompagnant les colonne», le transport 4l|...