Extrait du journal

inouïes », m'écrivait-il quelques jours avant de mourir. Depuis quatre ans, il suivait, anxieux, ces événements qui nous confondaient par leur horreur et leur beauté surhumaines et retentissaient si profondément en lui. Je me rappelle ses douleurs, ses enthousiasmes quand il parlait des soldats. Pas de vames phrases. Des mots d'admiration et de tendresse. Ces héros, il ne se laslait pas de les chanter. Il interrogeait avidement les acteurs ou les témoins du grand drame... Il se faisait conter les traits su-...