Extrait du journal

En effet, ceux-ci, après, 'a.vpir. péT nétré dans le vestibule de l'aile gauche du château- par la porte qui n'est jamais fermée à clé, ont fait, à l'aide d'une persée sur la porte de l'économat, sauter le verrou de sûreté, dont les vis auraient été, pendant une courte absence, de M. Philippe, dÓvissées à l'intérieur. Ce complice aurait aussi, à l'aide d'un diamant, tracé une petite ligne courbe sur le carreau de la cabine, téléphonique qui sert à communiquer avec l'extérieur et sur un des carreaux de la fenêtre du bureau, un cercle1 encadré d'un rectangle. On suppose que ces lignes .indiquent de quelle façon le coffre-fort devait être attaqué et que c'était dans la cabine voisine, servant aux communications de l'intérieur, qu'il fallait couper les fils téléphoniques pour éviter, en cas d'alerte, tout appel....