Extrait du journal

Ï1 me reste à parler deux fois encore de la « question Marchand ». J'ai constaté trop souvent à quel point notre malheureux peuple est infecté du poison milita' riste.et césarien pour me troubler de quelques injures. Je suis compris d'assez de bons Français. Et puis, je serais seul de mon avis que je n'en retrancherais pas an mot; depuis que je tiens une plume, j'ai pris l'habitude de rester moi-même, antre les hommes de réaction qui craignent que je ne prenne un jour leurs têtes avec leur cher argent, et les démagogues mercantiles qui tremblent que je ne prenne leur circonscription....