Extrait du journal

en effet, en 1904, une destination qui semblait définitive. L'Etat abandonnait les terrains à la Ville, lui permettant d'en vendre une certaine partie, à charge d'aménager le reste en jardins et de démolir la Galerie des Machines. Les dix premiers millions à provenir de la revente des terrains appartiendront à la Ville de Paris, les deux millions suivants à l'Etat, le surplus doit être partagé entre eux. L'affaire apparaissait et apparaît encore tellement définitive que l'on à commencé à dépenser un crédit de 1,000,000 ouvert sur la vente des terrains, pour exécuter diverses opérations de viabilité dans le maquis séparant en te moment le septième et le quinzième arrondissements....